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VIP204 – Les COVID

By Bernard

Chers amis québécois et canadiens,
La COVID-19 est née de parents inconnus à une date inconnue en 2019.
La COVID-20 a été reconnue en Chine au début de 2020 avant de se répandre très rapidement sur tous les continents du monde. La Chine a réagi rapidement en confinant toutes les villes et provinces infestées et les Chinois ont pu recommencer leur vie normale dans les mois qui ont suivi. Les autres pays dit démocratiques ont tragiversé et laissé le virus se répandre partout jusqu’à devenir obligé eux-mêmes de tout fermer à leur tour, mais pas tout, la démocratie ne le permettant pas!
La COVID-21 a été baptisée delta dès février. Et la delta s’est montrée plus virulente que les variants précédents et cela nous a affolé… pour quelques semaines. À la fin de novembre et sans être invité est arrivé omicron, un ado sans foyer et sans domicile fixe. Il a provoqué une crise sans pareille.
La COVID-22 semble se retirer lentement et la société occidentale pourra retrouver son rythme normal dans les prochaines semaines. Plus tard, un nouveau mutant ou variant plus virulent sera généré dans un des pays où le virus peut agir à sa guise dans une population non vaccinée contre son gré.
La COVID-23 et les suivantes continueront cette histoire dont on ne peut pas prévoir la fin.

La gestion de la crise
Cette lettre est le dernier de ma centaine de textes sur ce sujet. J’ai relevé d’abord les erreurs des gouvernements. J’ai noté que le gouvernement fédéral n’a pas fermé les frontières, comme la Chine, mais envoyé des avions pour rapatrier les Canadiens au début de la crise. J’ai aussi noté que le gouvernement québécois a oublié les CHSLD, sinon qu’il s’en est servi comme déversoir pour vider les hôpitaux au début de la crise. J’ai surtout noté l’inconscience de la santé publique qui ne reconnaissait pas l’utilité du couvre-visage, connaissance répandue en Asie. Finalement, j’ai entendu des personnes mal informées qui m’ont expliqué pourquoi elles ne voulaient pas se faire vacciner contre la COVID, toujours pour des pseudo raisons qu’elles jugeaient supérieures aux données scientifiques de la santé publique; pourtant toutes ces personnes avaient reçu des dizaines de vaccins auparavant!
J’ai reçu les trois vaccins, le Pfizer le 31 mars et le Moderna le 9 juillet et le 15 janvier. J’estime avoir été infesté par le virus à au moins quatre reprises, sans avoir été testé, mais je n’ai pas eu de symptômes supérieurs à ceux d’un petit rhume d’homme. Au Québec et au Canada, le dépistage devient moins important, parce que des Québécois et des Canadiens ont probablement été infestés un jour ou l’autre sans manifester de symptômes et on a ainsi gagné une certaine résistance collective ou immunité communautaire face au virus. La vaccination est la seule solution. Il fut maintenant l’étendre rapidement aux autres pays.

Quant aux Québécois et Canadiens non vaccinés, ils demeurent notre principal risque local et avec la diminution des infestations de l’omicron, ce risque deviendra acceptable. Pour faire diminuer ce risque, il s’agit de parquer ces gens non vaccinés chez en élargissant le passeport vaccinal et en suivant l’exemple de l’Australie.

20220116