






Le Journal de Montréal a présenté, samedi en page 26, une liste de onze tempêtes depuis 1800. C’était avant la télévision en continu! Cependant, la première affirmation de l’article est fausse; on y dit qu’on ignore tout des tempêtes survenues en Nouvelles-France. L’auteur, dont je n’ai pas vu le nom, n’a certainement pas lu les récits de voyages de Jacques Cartier ou de Samuel de Champlain, entre autres. De plus, en prenant les données d’Environnement Canada, l’auteur inconnu a limité sa recherche.
Je n’ai jamais recherché les changements climatiques au Québec, ou au Canada, ou ailleurs, parce que c’est un travail inutile. La seule constante dans le climat, c’est le changement. Par exemple, tout le monde sait que le phénomène le plus important dans le climat, qu’on ne présente plus dans nos média, c’est le courant jet, c’est-à-dire la rencontre entre le froid de l’Arctique et la chaleur venue du sud. Selon que le climat est plus ou moins froid, le courant jet passera plus ou moins au nord. Quand il passe à Sudbury et à Alma, il neige peu à Montréal, mais si le courant jet dévie plus au sud par jour de plus grande froidure, il neige davantage à Montréal. Fondamental, mon cher Wilson!
D’autres parties du monde ont leurs phénomènes différents, mais semblables, parce que le climat change toujours.
Vouloir combattre les changements climatiques, c’est un peu comme dans ce film de Disney, avec la musique de Berlioz : quand la nature agit, il est difficile de s’y opposer et de calmer le climat.
Je réaffirme que la température de la Terre a fortement augmenté entre 1980 et 1998. Depuis lors, la température de la Terre s’est stabilisée, sauf la hausse de 2016 due aux CFC de la Chine et cette hausse disparaît actuellement, tel que montré dans ma lettre précédente.
Le GIEC a déposé deux de ses trois rapports spécialisés et on attend le rapport final du sixième cycle plus tard, cette année. J’ai lu ces rapports et je n’y ai pas trouvé de contradiction avec mon affirmation précédente.
La lutte aux changements climatiques est une obsession utopique. Il faut protéger notre environnement et le carbone pollue, sent mauvais et est désagréable. Pour ramener la température de la Terre au niveau de 1980, il faut faire ce que tous les pays ont décidé unanimement: suivre le Protocole de Montréal et les décisions conséquentes.
20220403